Usurpation d’identité

Georges et Robert décident d’aller skier pour le week-end.
Après quelques heures de conduite, ils se font surprendre par une grosse tempête de neige.
Au travers du blizzard, ils aperçoivent une ferme et demandent à la très jolie dame qui leur a ouvert, s’ils ne pourraient pas passer la nuit chez elle.

  • Je réalise que c’est une terrible tempête et que je vis seule dans cette énorme maison. Comme mon mari est décédé depuis peu, j’ai peur que les voisins bavassent si je vous héberge dans la maison.
  • Soyez tranquille ma chère dame dit Robert, nous dormirons dans la grange et serons partis au lever du jour.

    La dame étant d’accord, ils s’installent dans la grange et au lever du jour, ils reprennent la route.

Puis neuf mois plus tard, Robert reçoit une lettre très surprenante d’un avocat.
Ça lui a pris quelques minutes pour comprendre que cette lettre venait de l’avocat de la dame veuve rencontrer neuf mois plus tôt.
Il se rend chez son ami Georges et lui demande s’il se souvient de la jolie veuve rencontrée neuf mois plus tôt lors de leur week-end de ski.

  • Oui je m’en souviens dit Georges.
  • Se pourrait-il que tu te sois réveillé au milieu de la nuit, que tu te sois rendu à sa maison et que tu te sois permis de la visiter..?
  • OUAIS, HUM, OUI dit Georges un peu embarrassé que l’histoire se sache.
  • Et est-ce que tu te serais servi de mon nom au lieu du tien ??

    Georges devient rouge de gêne et dit
  • Yeah, écoute, je m’excuse, c’est vraiment vrai que je l’ai fait mais pourquoi me demandes-tu tout cela ?
  • Ben j’ai reçu une lettre de son avocat, elle est décédée… et j’hérite de tout.
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Jacques Deval Tous les sots sont périlleux.