campagne

Conseil de ch’ti

Un bon vieux Ch’ti-mi se promène dans sa campagne natale et remarque un jeune s’abreuvant à l’eau d’un ruisseau.

Il lui dit en patois:
–  Bô pa ch’t’iô là, min garchon, ché vaques, y z’on kié d’din ! ! !
(Ne bois pas cette eau, mon garçon, les vaches ont chié dedans ! ! !)

Le jeune lui répond :
–  Monsieur, parlez-moi en français s’il vous plaît, je suis un parisien en vacances et je ne comprends pas votre dialecte.

Alors le brave Nordiste lui réplique :
–  Bois doucement… elle est froide !

Comment trouvez-vous cette blague ?

Note moyenne /5

Quelques blagues campagnardes à mourir de rire

La chasse au canard

La saison de chasse au canard n’est pas encore ouverte, mais Gérard y va quand même. Après deux heures, il tue un canard. Il s’assoit près d’un étang et il...

Lire la blague

A l’abri des regards …

Deux amoureux se promènent dans la campagne. Ils arrivent devant un champ fraîchement moissonné, parsemé de meules de foin, et le garçon entraîne sa compagne à l’abri de l’une d’entre...

Lire la blague

La maison de campagne

Un parisien a repéré une maison de campagne et s’apprête à l’acheter. Lorsqu’il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur : –  Vous comprenez, j’ai...

Lire la blague

La Tombola

Il y a quelques années, un jeune homme va voir un paysan, et lui achète un âne pour 100 Francs (je vous l’avais dit, c’est il y a quelques années,...

Lire la blague

Un ventriloque à la ferme

Un groupe de parisiens visite une ferme. Or parmi eux se trouve un ventriloque. Et quand il pénètrent dans l’étable sous la conduite du fermier, le ventriloque décide de lui...

Lire la blague

Le nouveau coq

C’était un éleveur de poules qui possédait un petit poulailler, sans plus. Dans son élevage se trouvait essentiellement des poules, quelques poussins, et un seul coq parmi la troupe. Cependant,...

Lire la blague

Recevoir la blague du jour par email

Déjà plus de 970 abonnés à la newsletter

Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.

Alphonse Allais
Blague du matin
Retour en haut