Au théâtre ce soir

Un vieux cabot se plaignait de n’avoir à dire, dans une nouvelle pièce, que cette phrase : « votre main marquise, il faut que je la baise ».

Il supplia l’auteur d’allonger son texte, mais en vain.
— Débrouillez-vous pour tirer un effet de cette réplique, sans en changer un mot, lui dit celui-ci, excédé.

Vint le soir de la générale.
Le vieux comédien s’approche de sa ravissante partenaire et lui lance :
– Votre main, marquise…

Un temps. Puis, en aparté au public :
– Il faut que je la baise.

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Alphonse Allais
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