Diplôme de péripatéticienne

Deux jeunes femmes décident de se prostituer et s’installent sur le trottoir d’un quartier réputé.
Une femme s’approche d’elles :

  • Vous êtes diplômées ? Car si vous ne l’êtes pas, vous ne pourrez pas rester ici !

Les deux jeunes femmes décident de passer l’examen.

Un mois plus tard l’une des deux reprend sa place sur le trottoir.

  • Ça y est, te voilà diplômée ? lui demande la femme qui les avait accostées la première fois.
  • Oui, oui j’ai réussi les épreuves.
  • Et ta copine ?
  • La pauvre, elle s’est étouffée à l’oral.

Comment trouvez-vous cette blague ?

Note moyenne /5

Quelques blagues coquines à mourir de rire

William

Dans une université, un groupe de jeunes filles passe la visite médicale. La première qui se présente porte une énorme marque en forme de « H » sur la poitrine. Qu’est-ce que...

Lire la blague

Le prénom

Une jeune fille va à la première fête de sa vie et avec la peur des avances des garçons elle demande conseil à sa mère : – Si les garçons...

Lire la blague

Au théâtre ce soir

Un vieux cabot se plaignait de n’avoir à dire, dans une nouvelle pièce, que cette phrase : « votre main marquise, il faut que je la baise »
Lire la blague

La bonne pointure

Une femme entre dans un bar et voit un beau cow-boy assis au comptoir. Ses longues jambes et ses longs pieds dans l'allée...
Lire la blague

La migraine

Un brave garçon est invité à dîner chez sa fiancée et ainsi faire la connaissance des parents de celle-ci. Le repas touche à sa fin lorsque la jeune fille se...

Lire la blague

Le bon copain

Deux couples d’amis jouent aux cartes. Claude fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s’aperçoit que la copine de David,...

Lire la blague

Un email hebdomadaire avec les blagues de la semaine

Déjà plus de 970 abonnés à la newsletter

Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.

Alphonse Allais
Blague du matin
Retour en haut