encyclopédie des blagues

La cravate

Un homme est perdu dans le désert. Il n’en peut plus, il va mourir de soif quand, tout à coup, il voit arriver un nomade.

  • De l’eau ! gémit-il.
    Le bédouin s’approche.
  • Vous avez de l’eau ? répète le mourant.
  • Pas du tout, j’ai pas d’eau. Pourquoi j’aurais de l’eau ? D’ailleurs j’en ai pas besoin, moi je suis marchand de cravate. Tu veux m’acheter une cravate ? Regarde : j’en ai en soie, en laine, j’en ai pour mettre par-dessus le plastron, très chic, avec petite pochette et tout…
  • Je m’en fous de tes cravates, je veux de l’eau, moi…
  • J’ai pas d’eau, je vends des cravates…

Et le bédouin s’en va. Le type est à l’agonie. Un deuxième nomade passe par là.

  • Ooooh !! De l’eau !
  • J’en ai pas, mais j’ai des cravates : à pois, écossaises, unies…
  • Vous m’emmerdez, avec vos cravates ! Je veux de l’eau, moi !

Le pauvre type arrive tout de même à marcher, marcher…

Au bout de deux jours, que voit-il en plein désert ? Un bar ! Un grand établissement. Il se précipite et le maître d’hôtel lui fait :

  • Non monsieur, je regrette… Ici, on ne rentre pas sans cravate !

Comment trouvez-vous cette blague ?

Note moyenne /5

Quelques blagues à mourir de rire

Déjeuner familial au restaurant

J’avais invité ma famille ainsi que ma belle-famille à venir déjeuner, un samedi à midi, dans un restaurant dans lequel mon frère œuvrait en tant que serveur. Dès l’entrée chaude,...

Lire la blague

Le trou

L’adjudant a demandé au soldat Lafleur de creuser un grand trou pour y enterrer les ordures de la cuisine. Une heure après, il vient vérifier le travail. Il n’y a...

Lire la blague

A la cafétéria

Les enfants attendaient en rang pour dîner dans la cafétéria d’une école catholique élémentaire. Au bout de la table se trouvait une grosse pile de pommes. La religieuse avait placé...

Lire la blague

Recevoir la blague du jour par email

Déjà plus de 970 abonnés à la newsletter

Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.

Alphonse Allais
Blague du matin
Retour en haut