Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné.
Le curé était tellement content de son âne qu’il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page :
Le CUL DU CURÉ VA DE L’AVANT.
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu’il a ordonné au curé de ne pas inscrire l’âne dans une autre course.
LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE a titré le journal !
C’en était trop pour l’évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l’âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche.
Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain :
UNE NONNE A LE MEILLEUR CUL DE LA VILLE.
L’évêque s’est évanoui Il a informé la religieuse qu’elle devrait se débarrasser de l’âne, alors elle l’a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
UNE NONNE VEND SON CUL POUR 10 € !
C’en était trop pour l’évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l’âne et le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit : de
LA NONNE ANNONCE QUE SON CUL EST LIBRE ET À L’ÉTAT SAUVAGE.
L’évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l’histoire :
Être préoccupé par l’opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère . . .
Et même, raccourcir votre vie.
Alors soyez vous-même et profitez de la vie.
Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres, occupez-vous juste de vos propres fesses !!!
Le Cul du curé : une histoire qui n’est pas celle que vous croyez !
Quelques blagues sur les curés à mourir de rire

Tous les matins votre ami Ricoray se lève aux aurores pour vous dénicher la blague du jour.
En espérant que celle-ci vous fera rire et vous mettra de bonne humeur pour le reste de la journée et pourquoi pas jusqu’au bout de la nuit.
Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.
Alphonse Allais