Une blague proposée par ZEK
Un homme, la cinquantaine, a rendez-vous chez le proctologue pour un examen de la prostate, il est le premier patient de la journée.
L’assistante du médecin vient le chercher dans la salle d’attente et le conduit dans la salle d’examen, traversant un couloir en travaux, la table à tapisser, les rouleaux, peintures, pinceaux, une boite de gants nitrile taille 12 encombrent le couloir ; le peintre n’est pas encore arrivé :
– Le docteur va arriver d’une minute à l’autre, veuillez baissez votre pantalon et votre slip, vous vous mettez sur la table d’examen en position génu-pectorale (à quatre pattes), les avant-bras pliés et posés sur la table.
Puis elle rejoint le secrétariat.
Un homme en blanc entre dans la salle d’examen, examine minutieusement les testicules du patient, les malaxe longuement, lui décalotte le gland, serre la collerette, appuie sur le frein, écarte le méat, exerce une pression sur le périnée, lui introduit un long et épais doigt ganté dans l’anus, effectue quelques mouvements et pressions rectales puis quitte la salle d’examen sans rien dire.
L’assistante du médecin revient :
– Monsieur, je suis désolé, mais le médecin a téléphoné, il a un contre temps et n’arrivera que dans une heure, vous pouvez vous rhabiller et attendre, ou bien je vous donne un nouveau rendez-vous, c’est comme vous voulez !
– Mais je ne comprend pas, il vient de m’examiner à l’instant, m’a touché la bite, les couilles et m’a mis un gros doigt dans le cul ! Il était avec un pantalon blanc, il m’a rien dit, j’ai même pas vu son visage ?
L’assistante est médusée, interloquée, elle ne comprend pas :
– C’est pas possible, vous rêvez monsieur, vous hallucinez, le médecin n’arrivera que dans une heure ?!
Puis elle entend un sifflotement dans le couloir, c’est le peintre, en tenue de travail blanche, qui maroufle du papier peint.
Elle se précipite vers le peintre:
– Je serais vous, je me planquerais rapidement, le patient se rhabille, et s’il vous voit dans le couloir, il va reconnaître vos doigts, même gantés !…
AïïïE ! AïE ! AïE !