L’institutrice présente à la classe un nouvel élève arrivant du Japon : « Les enfants, voici un nouvel élève qui s’appelle Sakiro Suzuki.«
Le cours commence.
L’institutrice : « Bon, voyons qui maîtrise l’histoire de la culture franco-américaine. Qui a dit : DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT ?«
Pas un murmure dans la salle. Suzuki lève la main : « Patrick Henry, en 1775 à Philadelphie.«
L’institutrice : « Très bien Suzuki ! Et qui a dit : L’ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER«
Suzuki lève la main : « Abraham Lincoln, en 1863 à Washington.«
L’institutrice : « Excellent, Suzuki !Maintenant, qui a dit : JE VOUS AI COMPRIS«
Suzuki lève la main et dit : « Charles De Gaule à Alger le 4 juin 1958«
L’institutrice regarde les élèves et dit : « Honte à vous ! Suzuki est Japonais et il connaît l’histoire française et américaine mieux que vous !«
On entend alors une petite voix au fond de la classe : « Allez tous vous faire enculer , connards de Japonais !«
« Qui a dit ça ? » s’insurge l’institutrice.
Suzuki lève la main et, sans attendre, dit : « Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee lacocca, 1982, lors de l’assemblée générale de General Motors.«
Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret : « Y’m’fait vomir…«
L’institutrice hurle : « Qui a dit ça ?«
Et Suzuki répond : « George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.«
Un des élèves se lève alors et crie : « Pomp’moi l’gland !!!«
Et Suzuki, sans sourciller : « Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington et DSK à une femme de chambre du Sofitel de New-York 2011.«
Un autre élève lui hurle alors : « Suzuki, espèce de grosse merde !«
Suzuki : « Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002…«
Un autre élève crie plus fort : « Casse toi pov’con !«
Et Suzuki répond : « Trop facile celle-là, Nicolas SARKOZY au Salon de l’Agriculture 23 février 2008 à Paris à un visiteur peu doué en grammaire.«
La salle tombe littéralement dans l’hystérie, l’institutrice perd connaissance, la porte s’ouvre et le directeur de l’école apparaît : « MERDE, je n’ai encore jamais vu un bordel pareil !«
Et Suzuki : « Martine Aubry en arrivant à la tête du Parti Socialiste.«