Les métiers

Le stagiaire

Le PDG d’un grand groupe multinational déambule dans son bureau climatisé de 120 m², emmerdé par l’ennui d’une nouvelle journée de glande. Après avoir consulté ses mails de cul illustrés, le cours du CAC40 et quelques minutes  » L’amour est dans le pré  » sur le net, il décide d’aller voir son vice-président (lui-même plongé dans une partie de TÉTRIS en réseau). Une fois dans le bureau, il lui dit :
– Écoutez, j’ai une terrible préoccupation à propos de mon épouse (l’héritière grâce à laquelle il est PDG). Je me demande si le fait de lui faire l’amour est une question de travail ou si c’est juste une question de plaisir ?

Le vice-président embarrassé, lui répond sans trop se mouiller :
– Franchement, je n’en ai aucune idée M. Le Président.
– Vous avez une heure pour me donner la réponse ! ordonne le PDG.

Le Vice-président court voir son vice-président adjoint (qui lisait l’Équipe tranquillement dans son bureau climatisé de 60 m²) et lui expose le problème :
– Une question : si notre cher Président se tape sa femme, à ton avis, c’est une affaire de travail ou c’est juste pour le plaisir ?
– Alors là, j’en sais rien ! Lui répond-il.
– Tu as 55 minutes pour me répondre !!

Le Vice-président adjoint va voir son directeur financier (en pause-café).
– Si notre président saute sa chérie, c’est du travail ou du plaisir ?
– Financièrement, le coût est nul, je ne peux donc pas répondre.
– T’as 45 minutes.

Celui-ci va voir son chef de département (en réunion), qui à son tour va voir un de ses chefs de projets (le seul qui ne soit pas en RTT).
– Si le vieux baise sa meuf, c’est du taf ou c’est juste pour le fun ?
– J’en sais rien.
– Réponse dans 20 minutes !

Le chef de projet va voir donc un de ses responsables techniques qui en dernier recours va demander à l’un de ses stagiaires en pleine période de bourre, avec dix cahiers des charges sur la table, trois mois de boulot sur le dos, pleins de docs à rédiger, la messagerie qui fume, le téléphone qui sonne sans arrêt.
– Oh ! Le stagiaire ! Une question !
– Pas maintenant, je suis blindé jusqu’au cou, j’ai pas le temps, j’ai plein de trucs à faire.
– C’est super urgent !! Il faut que tu répondes.
– Vas-y ! C’est quoi ? demande le stagiaire.
– Si le Big Boss fourre sa pouf, c’est du boulot ou du plaisir ?
– C’est du plaisir ! affirme le stagiaire.
– Attends ! Comment tu peux savoir aussi vite ?

Le stagiaire répond, indigné :
– Dans cette boîte, si jamais c’était du boulot, c’est moi qui serais en train de me la taper !!!…

 

Comment trouvez-vous cette blague ?

Note moyenne /5

Quelques blagues au boulot à mourir de rire

Du « tact » au tac

Ayant remarqué la braguette ouverte de son patron, la secrétaire embarrassée lui dit : – La porte de votre garage est restée ouverte. Le directeur perplexe ne comprend pas, jusqu’à...

Lire la blague

Congés de Noël

En cette fin d’année une employée avait un urgent besoin de quelques jours de congé mais elle savait que mon patron ne voudrait pas lui donner. Alors, elle a pensé...

Lire la blague

Pôle emploi

Un homme rencontre un copain qu’il n’a pas revu depuis plusieurs mois et qui était au chômage. Alors ? As-tu trouvé du travail ? Ne m’en parles pas, répond l’autre....

Lire la blague

Cadeau d’adieu

Le patron du service d’ophtalmologie d’un grand hôpital prend sa retraite. Lors de son pot d’adieu, ses collègues, collaborateurs et amis lui offrent un grand tableau d’art moderne représentant un...

Lire la blague

Le commis

Un épicier a engagé comme commis un grand jeune homme à lunettes. Bon, lui dit-il, le premier jour, vous allez commencer par me balayer soigneusement la boutique. Mais, proteste le...

Lire la blague

Question de psychologie

Un épicier a engagé comme commis un jeune homme à lunettes. Bien, lui dit-il, vous allez d’abord me balayer soigneusement la boutique. Mais, proteste le jeune homme, vous savez que...

Lire la blague

Recevoir la blague du jour par email

Déjà plus de 970 abonnés à la newsletter

Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.

Alphonse Allais
Blague du matin
Retour en haut