campagne

La maison de campagne

Un parisien a repéré une maison de campagne et s’apprête à l’acheter.

Lorsqu’il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur :

–  Vous comprenez, j’ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait enlever les ruches !

Le paysan répond vertement :
–  Mes abeilles n’ont jamais piqué qui que ce soit ! Tenez, je propose un truc, je vous attache tout nu à l’arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne !

Le type se dit qu’une heure, c’est vite passé et que le jeu en vaut la chandelle. Une heure après, le paysan retourne voir le parisien et le voit tout pâle, les cernes sous les yeux, crevé !

–  Oh mon Dieu ! Elles vous ont piqué ?

–  Non non ! Elles ont été sympa les abeilles, mais le petit veau, dites moi, il y a longtemps qu’il a perdu sa mère ?

Comment trouvez-vous cette blague ?

Note moyenne /5

Quelques blagues campagnardes à mourir de rire

La foire aux taureaux

Un couple de fermiers assistent à la remise des prix à la fin d’une exposition agricole. L’orateur commence par annoncer le dernier prix : « Et voici le troisième prix :...

Lire la blague

Perdu dans le brouillard

Perdu dans le brouillard, un touriste tombé en panne d’essence, erre dans la campagne, un bidon à la main. Au bout de plusieurs heures, il trouve enfin une habitation. C’est...

Lire la blague

Le clou

Dans une ferme, un éleveur de vaches qui vient tout juste de se marier donne les instructions à sa jeune épouse avant de partir en ville pour la matinée: – ...

Lire la blague

Oh la vache !

C’est l’histoire d’un paysan avec sa vache, qui fait du stop au bord d’une nationale. Un homme s’arrête et le paysan monte dans la voiture. Le conducteur lui demande :...

Lire la blague

Recevoir la blague du jour par email

Déjà plus de 970 abonnés à la newsletter

Pour qu'une histoire drôle soit bien racontée, il faut trois personnes : une qui la dit, une qui la comprend, et une troisième qui ne la comprend pas, ce qui accroît le plaisir des deux autres.

Alphonse Allais
Blague du matin
Retour en haut